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Née en 1948, Agnès Le Roux aurait aujourd’hui soixante ans. Ou faut-il dire a ? Elle a disparu : meurtre ou exil volontaire loin, très loin de la promenade des Anglais ? L’une des plus fameuses énigmes de la seconde moitié du xxe siècle met en scène Mme Le Roux mère, Renée, copropriétaire du Palais de la Méditerranée, le célèbre casino niçois sur lequel Jean-Dominique Fratoni entend mettre la main. L’amant d’Agnès, Maurice Agnelet, va favoriser l’opération en aidant la fille à voter contre sa mère au conseil d’administration, renversant la majorité et chassant Renée Le Roux de son poste de P-DG. Le récit est l’évocation, par un romancier, d’un fait divers mêlant des éléments amplement divulgués par les médias à des aperçus et interprétations propres à l’auteur. C’est aussi l’occasion fournie à Patrick Besson de brosser un portrait très contrasté de Nice, gouvernée à l’époque par Jacques Médecin.
Libération de prisonniers, fourniture d'armes, impunité pour certains chefs d'État ou criminels… Un enlèvement peut aussi être réalisé sans perspective de libérer la victime, notamment lorsque le but est de pouvoir abuser de celle-ci sexuellement. Dans ce livre, vous allez découvrir différentes histoires d’affaires judiciaires résolues ou non, mais surtout plonger dans le macabre et les détails sordides de celles-ci.
Quel rapport y a-t-il entre le récent procès de Jacques Viguier, le professeur de droit, et celui de Jean-Maurice Agnelet, qui fut l’amant d’Agnès Le Roux en 1977 ? Tous deux sont passés au tribunal parce que leur compagne s’était étrangement « absentée ». Et assez longtemps pour que la justice s’en inquiète. Pourtant, impossible d’être absolument certain que les jeunes femmes sont mortes tant que leurs corps restent introuvables. Roger-Louis Bianchini revient ici sur des histoires énigmatiques de « crimes sans cadavre » : parfois la police a recueilli des aveux complets, parfois les preuves accablantes s’accumulent sans que jamais le meurtrier ne reconnaisse les fa...
Quand la Niçoise Agnès Le Roux, 29 ans, disparaît en 1977, son amant Maurice Agnelet devient le principal suspect. La justice n’établit rien de concret contre lui, l’enquête bégaie : il est inculpé, écroué, puis bénéficie d’un non-lieu en 1985. On croit l’affaire terminée, elle redémarre. Il est à nouveau accusé en 2000, puis acquitté en 2006 au bénéfice du doute. Et puis, tout se retourne contre lui : en 2007, il est condamné en appel à vingt ans de réclusion criminelle. Le voilà reconnu coupable de l’assassinat d’Agnès. Trente ans après. Et pourtant, pas d’éléments objectifs incontestables : l’enquête a été déficiente, il manque un cadavre, les...
« Les assises sont une drogue dure pour qui pratique la chronique judiciaire. Mon addiction s'est déclarée dès la première dose, il y a de cela presque un quart de siècle. » Stéphane Durand-Souffland a suivi, pour Le Figaro, les plus grands procès de ces dernières années : de Guy Georges - « le tueur de l'Est parisien » - à l'historique V13 - qui juge les attentats du 13 novembre -, en passant par le scandale d'Outreau, Michel Fourniret - « l'ogre des Ardennes » -, Jacques Viguier, Tony Meilhon - l'assassin de la jeune Laetitia -, Maurice Agnelet, Dominique Cottrez, Francis Heaulme - « le routard du crime » - ou encore l'affaire Troadec. Dix procès, comme autant de « myth...
Son nom est associé aux affaires brûlantes du moment : Servier, Bettencourt, Polanski, Clearstream... Hervé Temime fait partie de l’élite des avocats pénalistes français. Il est celui que les puissants (chefs d’entreprises ou hommes politiques dont Bernard Tapie, Jean Louis Borloo, Alain Afflelou...) et les célébrités (Nathalie Baye, Catherine Deneuve, Gérard Depardieu...) sollicitent. On le voit en « avocat des stars » ? Lui considère qu’il « est un pénaliste qui a mal tourné ». Surtout, il n’oublie pas d’où il vient. Orphelin de père à 10 ans, il développe une sensibilité viscérale à l’injustice. « Si je n’avais pas eu un surmoi très fort, je serai d...
Notre époque est celle de la mondialisation, de la guerre économique à outrance, mais aussi celle de l'information : de plus en plus, les médias semblent conditionner de multiples domaines et nous assistons au développement d'une frénésie de savoir qui engendre parallèlement un phénomène de paranoïa. Or pour les auteurs de cet ouvrage, il est tout à fait certain que "trop d'information tue l'information " et ils se proposent donc, à travers cet essai, de nous amener à mieux comprendre et gérer l'information, en s'attachant notamment aux ficelles de ce fait de société, c'est-à-dire la collecte des renseignements. Aujourd'hui, l'information est sans conteste le nerf de la guerre économique et par là même une clé du pouvoir économico-politique. A travers une réflexion sur ce qu'est le renseignement et de quelles manières il peut être obtenu, Franck Boulot et Didier Violle élaborent un ouvrage à la fois didactique et agréable à lire. Chacun trouvera là un outil de compréhension pratique, illustré d'une multitude d'exemples, qui devrait permettre de mieux gérer notre rapport à l'information et ainsi, peut-être, d'éviter des dérives.
« Un jour de l’été 2002, Franz-Olivier Giesbert m’a demandé d’écrire sur la télévision chaque semaine dans Le Point. Je lui ai dit que j’écrivais déjà sur la télévision pour un autre journal (textes rassemblés dans Le Plateau télé, Fayard, 2010). Franz m’a rappelé quelques jours plus tard et m’a dit que, dans ce cas, je pourrais écrire sur n’importe quoi. C’est ce que j’ai fait. »
Les ordonnances de mise en accusation et les arrêts de renvoi devant la cour d'assises, documents un peu secs, administratifs, peuvent révéler bien des surprises quand on les regarde de plus près. On parle souvent, à tort ou à raison, des erreurs judiciaires, mais qui connaît les erreurs de justice (les coupables sanctionnés trop ou pas assez sévèrement, ou pour un motif qui n'est pas le bon) ? Que faut-il penser de la réforme du 10 août 2011 mettant en place la motivation des verdicts de cours d'assises ? Cet ouvrage se veut une exploration des coulisses de l'institution judiciaire ; institution humaine donc imparfaite, et complexe. C'est aussi l'occasion de revenir sur moult dossiers retentissants, les disparitions de Pierre Quémeneur et d'Agnès Le Roux, les affaires Dany Leprince et Yvan Colonna, etc. Préface de Jean-Michel Lambert, magistrat honoraire. En annexe, les observations de deux avocats pénalistes, Me Gilles Antonowicz et Me Dominique Inchauspé.
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